
La semaine dernière, L’affranchi a évoqué la démission de la conseillère municipale d’opposition, Fatiha Benrezzak. Très vite, sur notre site internet «laffranchi.fr», sont alors arrivés des commentaires la présentant comme étant la sœur de l’acteur Sophiane Benrezzak. Ce qui est effectivement le cas.
Nous avons contacté Sophiane Benrezzak, qui nous a dit se souvenir avec émotion de son enfance passée à Chaumont. Il s’appelait Ahmed à l’époque. Sophiane est son nom d’artiste. Il reconnaît d’ailleurs qu’avec celui-là les portes s’ouvrent malheureusement beaucoup mieux qu’avec son prénom d’origine.
Aujourd’hui il habite à Montmartre.
On a pu en effet le remarquer dans une des toutes premières scènes de «Mesrine, l’instinct de mort». Il y joue le rôle d’un Algérien que, dans un contexte de guerre et de tortures, Mesrine va finalement abattre.
«Ce n’était qu’un petit rôle. Ça ne mérite pas une interview», confie-t-il. Même s’il admet avoir été sélectionné sur casting parmi des dizaines de candidats désireux de donner la réplique à Vincent Cassel.
En fait, il est plus connu pour avoir incarné le personnage principal de «Tabous» qui a fait partie de la sélection officielle du festival de Berlin en 2004. C’est un film de Mitra Farahani, qui traite de la sexualité hommes/femmes en Iran.
Plus récemment on a pu le voir sur France 2 dans «Versailles : le rêve d’un roi» où il jouait le rôle d’un ambassadeur espagnol. Et il vient de tourner dans un docu-fiction de Stéphane Bégouin pour Arte sur la reine d’Egypte Hatshepshout.
Par ailleurs, il a été l’acteur principal d’une demi-douzaine de courts métrages qui ont reçu divers prix.
Sophiane Benrezzak, qui avait appris la coutellerie à Nogent, est monté sur les planches à l’occasion d’un défilé de mode à Chaumont. Et c’est en tant que mannequin, du haut de ses 1,93 m, qu’il a commencé sa carrière en Allemagne. Puis il a exercé à Paris. Et il a eu la chance de faire la rencontre d’un responsable de l’Actors Studio français qui lui a permis de suivre des cours de théâtre gratuitement.
Il est le fils aîné d’une famille dont les parents ont immigré à Chaumont et dont les enfants ont des parcours assez peu ordinaires. Une des filles est chercheur au CNRS, une autre s’occupe d’une radio en Islande...
Seule Fatiha est restée en Haute-Marne. Mais elle, c’est dans l’écriture qu’elle a entrepris de voyager. Le Journal de la Haute-Marne, qui a traité avec une certaine ironie ses projets littéraires, ne connaissait certainement pas tout ce contexte.
Nous avons contacté Sophiane Benrezzak, qui nous a dit se souvenir avec émotion de son enfance passée à Chaumont. Il s’appelait Ahmed à l’époque. Sophiane est son nom d’artiste. Il reconnaît d’ailleurs qu’avec celui-là les portes s’ouvrent malheureusement beaucoup mieux qu’avec son prénom d’origine.
Aujourd’hui il habite à Montmartre.
On a pu en effet le remarquer dans une des toutes premières scènes de «Mesrine, l’instinct de mort». Il y joue le rôle d’un Algérien que, dans un contexte de guerre et de tortures, Mesrine va finalement abattre.
«Ce n’était qu’un petit rôle. Ça ne mérite pas une interview», confie-t-il. Même s’il admet avoir été sélectionné sur casting parmi des dizaines de candidats désireux de donner la réplique à Vincent Cassel.
En fait, il est plus connu pour avoir incarné le personnage principal de «Tabous» qui a fait partie de la sélection officielle du festival de Berlin en 2004. C’est un film de Mitra Farahani, qui traite de la sexualité hommes/femmes en Iran.
Plus récemment on a pu le voir sur France 2 dans «Versailles : le rêve d’un roi» où il jouait le rôle d’un ambassadeur espagnol. Et il vient de tourner dans un docu-fiction de Stéphane Bégouin pour Arte sur la reine d’Egypte Hatshepshout.
Par ailleurs, il a été l’acteur principal d’une demi-douzaine de courts métrages qui ont reçu divers prix.
Sophiane Benrezzak, qui avait appris la coutellerie à Nogent, est monté sur les planches à l’occasion d’un défilé de mode à Chaumont. Et c’est en tant que mannequin, du haut de ses 1,93 m, qu’il a commencé sa carrière en Allemagne. Puis il a exercé à Paris. Et il a eu la chance de faire la rencontre d’un responsable de l’Actors Studio français qui lui a permis de suivre des cours de théâtre gratuitement.
Il est le fils aîné d’une famille dont les parents ont immigré à Chaumont et dont les enfants ont des parcours assez peu ordinaires. Une des filles est chercheur au CNRS, une autre s’occupe d’une radio en Islande...
Seule Fatiha est restée en Haute-Marne. Mais elle, c’est dans l’écriture qu’elle a entrepris de voyager. Le Journal de la Haute-Marne, qui a traité avec une certaine ironie ses projets littéraires, ne connaissait certainement pas tout ce contexte.